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Le coin des histoires

SISTER

 

Ma sœur crie toujours au milieu de la nuit. Un cri horrible, à glacer le sang. Et je ne peux pas l'arrêter.

Je reste dans mon lit, loin de la Terre, dans mes rêves brumeux, et ses cris les transpercent. Elle pleure pour moi, pour quelqu'un.
Je ne peux pas l'arrêter, j'aurai beau tout essayer, je n'y arriverai pas. Un jour, je lui ai ramené des lavandes. J'espérais que l'odeur la calmerait.Mes yeux se ferment et je commence à m'éloigner.Mais elle crie.Qu'est-ce que je peux faire, petite sœur? Pourquoi tu cries? Qu'est-ce qui te fait peur? Tu ne me le diras pas, je ne peux pas t'aider. Une nuit, alors que ses cris sont trop forts, je me lève. J'arrêterai ses cris. Je vais jusqu'à son lit, et je m'agenouille juste devant elle. Arrête de crier. ARRÊTE DE CRIER. Je baisse les yeux vers elle, mais je ne la vois pas. Il fait trop sombre, elle est trop loin. ARRÊTE DE CRIER. Elle s'arrête, mais seulement parce qu'elle sait que quelqu'un est là. Elle est silencieuse, elle ne veut pas qu'ils sachent qu'elle est là. Ma mère me dit que je dois retourner me coucher. Que je dois arrêter de venir voir ma sœur la nuit. Mais tu n'entends pas les cris, Maman? Elle ne les entend pas. Ce n'est que moi. Ma sœur fait semblant d'être endormie. Je me lève. Je suis sale; je me suis agenouillé sur la tombe de ma sœur. Elle reste dans son cercueil. Morte, mais elle crie toujours ...

 

Mes voisins

 

CREEPYPASTA inventé par moi même #Myers

Mes voisins

Mes voisins sont venus chez moi
Mes voisins n'ont pas bu le thé que je leurs est fait
Mes voisins sont calment , très calme
Mes voisins n'ont pas l'air d'humeur
Mes voisins ne parlent pas 
Mes voisins ne bouge pas
Mes voisins me font rire
Mes voisins me regarde droit dans les yeux
Mes voisins font une drôle de tête 
Mes voisins ne veulent plus partir de chez moi
Mes voisins sont égorgés dans ma chambre .

 

La dame d'Essaouira

 

Il était une fois, à côté de la ville essaouira, un peti village où résidait une vielle dame riche, elle avait de vastes terres agricoles; une grande maison et surtout une jolie bague en or qui coute une fortune. elle vivait toute seule à sa maison, ses enfants à la ville, elle restait toute seule dans le village, entourée des ses voisins. Après une grave maladie, la vielle dame est morte. Zouhra, une jeune dame s'est chargée pour laver le cadavre de la vielle dame et le préparer pour l'enterrement, en lavant le cadavre de la vielle dame par de l'eau et du savon, elle remarquait la bague, tant essayait de l'enlever mais en vain....
Les années coulaient, et la fortune de la vielle dame a été partagée par ses enfants. Zohra est devenue riche, et tout le village n'a pas compris comment. Une nuit d'hiver, il pleuvait sans cesse sur le village, Zohra chez elle, était installée sur son canapé, elle a entendu frapper sur la porte, en allant voir qui, elle trouve une vielle dame vétue du blanc et mouillée en tremblant du froid; elle l'a fait entrer, et lui a donné des draps pour se chauffer, la vielle dame disait qu'elle n'est pas de ce village, et qu'elle rendait juste visite à son garçon, et qu'avec la tempete et le noir, elle s'est perdue. Zohra lui a demandé s'il voulait un verre de thé chaud, la vielle dame accepte. 
Zohra lui a tendu le verre, et Soudain, zohra remarque que le doigt de la dame est coupé
stupéfiante zohra a demandé: qu'est ce que t'as madamme?
: C'EST TOI ZOHRA QUI M'AS COUPEE LE DOIGT ! 

 

ARTHUR ...

 

Cette après-midi, j’ai poussé Arthur dans le bassin. Il est tombé et il s’est mis à faire glou glou avec sa bouche, mais il criait aussi et on l’a entendu. Papa et maman sont arrivés en courant. Maman pleurait parce qu’elle croyait qu’Arthur était noyé. Il ne l’était pas. Le docteur est venu. Arthur va très bien maintenant. Il a demandé du gâteau à la confiture et maman lui en a donné. Pourtant, il était sept heures, presque l’heure de se coucher quand il a réclamé ce gâteau et maman lui en a donné quand même. Arthur était très content et très fier. Tout le monde lui posait des questions. Maman lui a demandé comment il avait fait pour tomber, s’il avait glissé et Arthur a dit que oui, qu’il avait trébuché. C’est chic à lui d’avoir dit ça, mais je lui en veux quand même et je recommencerai à la première occasion. 

D’ailleurs, s’il n’a pas dit que je l’avais poussé, c’est peut-être tout simplement parce qu’il sait très bien que maman a horreur des rapportages. L’autre jour, quand je lui avais serré le cou avec la corde à sauter et qu’il est allé se plaindre à maman en disant : « C’est Hélène qui m’a serré comme ça », maman lui a donné une fessée terrible et elle lui a dit : « Ne fais plus jamais une chose pareille ! » Et quand papa est rentré, elle lui a raconté et papa s’est mis lui aussi très en colère. Arthur a été privé de dessert. Alors il a compris et, cette fois, comme il n’a rien dit, on lui a donné du gâteau à la confiture : j’en ai demandé aussi à maman, trois fois, mais elle a fait semblant de ne pas m’entendre. Est-ce qu’elle se doute que c’est moi qui ai poussé Arthur? 

Avant, j’étais gentille avec Arthur, parce que maman et papa me gâtaient autant que lui. Quand il avait une auto neuve, j’avais une poupée et on ne lui aurait pas donné de gâteau sans m’en donner. Mais, depuis un mois, papa et maman ont complètement changé avec moi. Il n’y en a plus que pour Arthur. On lui fait des cadeaux sans arrêt. Ca n’arrange pas son caractère. Il a toujours été un peu capricieux, mais maintenant il est odieux. Sans arrêt en train de demander ci ou ça. Et maman cède presque toujours. Vraiment, en un mois, je crois qu’ils ne l’ont grondé que le jour de la corde à sauter et ça, c'est drôle, puisque pour une fois, ce n’était pas sa faute ! Je me demande pourquoi papa et maman, qui m’aimaient tant, ont cessé tout à coup de s’intéresser à moi. On dirait que je ne suis plus leur petite fille. Quand j’embrasse maman, elle ne sourit même pas. Papa non plus. Lorsqu’ils vont se promener, je vais avec eux, mais ils continuent à ne pas s’occuper de moi. Je peux jouer près du bassin tant que je veux, ça leur est égal. Il n’y a qu’Arthur qui soit gentil avec moi de temps en temps, mais souvent il refuse de jouer avec moi. Je lui ai demandé l’autre jour pourquoi maman était devenu comme ça avec moi. Je ne voulais pas lui en parler, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. Il m’a regardée par en dessous, avec cet air sournois qu’il prend exprès pour me faire enrager, et il m’a dit que c’était parce que maman ne voulait plus entendre parler de moi. Je lui ai dit que ce n’était pas vrai. Il m’a dit que si, qu’il avait entendu maman le dire à papa et qu’elle avait même dit : « Plus jamais, je ne veux plus jamais entendre parler d’elle! » 

C’est ce jour-là que je lui ai serré le cou avec la corde. Après ça, j’étais tellement furieuse, malgré la fessée qu’il avait reçue, que je suis allée dans sa chambre et que je lui ai dit que je le tuerais. 
Cette après-midi, il m’a dit que maman, papa et lui allaient partir au bord de la mer et qu’on ne m’emmenait pas. Et il a ri et il m’a fait des grimaces. Alors, je l’ai poussé dans le bassin. 

Il dort maintenant et papa et maman dorment de leur côté. Dans un moment, j’irai dans sa chambre et cette fois, il n’aura pas le temps de crier, j’ai la corde à sauter. Il l’a oubliée dans le jardin et je l’ai ramassée. 

Comme ça, ils seront obligés de partir sans lui. Et après, j’irai me coucher toute seule, au fond de ce vilain jardin, dans cette horrible boîte blanche où ils me font dormir depuis un mois.

 

 

 

La petite fille au yeux rouge

 

la petite fille

 

Lors d'une nuit orageuse, un vieil homme s'en allait dormir vers une heure du matin après avoir écouté le bulletin de nouvelles à la radio lorsqu'une petite fille étrange cogna à la porte de sa demeure.

Elle était habillée d'une robe de nuit en voile blanc, avait de long cheveux blonds très pâles bouclés, le teint pâle et les yeux rouges. Aussi, elle traînait un violent coup de vent derrière elle. L'homme, lui demanda pourquoi est-ce qu'elle traînait dehors à cette heure. Elle ne lui répondit pas. Il lui demanda alors si elle voulait à boire, ou à manger. Mais elle ne lui répondit que pas un signe de tête désapprobateur et partit.

Le lendemain, à la même heure, le même vieil homme eût de la visite de la petite fille, il lui demanda la même chose que la veille et la jeune fille agît de la même manière que le jour précédent. Le vieil homme baissa la tête et s'interrogea mais la fillette avait disparu lorsqu'il éleva le regard. "Bizarre", se dit-il. Mais il ne s'en fit pas avec ça.

La nuit suivante, il ne fut pas surpris que la fille revienne. Cette fois-ci, il l'invita à rester pour la nuit et à sa grande surprise, elle accepta. Mais cette nuit-la, l'homme fit de l'insomnie et se leva écouter la radio. Là le malheur arriva, un message de la police coupa la musique. Le message était celui-ci : "Attention à tous, nous vous informons qu'une petite fille étrange se promène dans les parages. Elle est habillée tout en blanc et a de long cheveux blonds bouclés, aussi, elle a les yeux rouges. Elle a été aperçue la dernière fois à Acton Vale, alors, attention, si vous la voyez ne lui parlez surtout pas et ne l'invitez pas chez vous. Je répète prenez gare à la petite fille aux yeux rouges! C'est une meurtrière en série. Une revenante, oui car elle est décédée il y a deux ans et elle reviens se venger. Cette fillette n'a pas de coeur elle est cruelle et sans pitié. Attention à elle!"

Alors le vieillard se retourna pour voir si la jeune fille dormait encore et il la vit debout devant elle faisant un signe de bras. L'homme tomba raide mort.

La légende dit que quand vous allez passer la nuit à Acton Vale, il ne faut surtout pas penser à la petite fille aux yeux rouge, sinon, elle reviendra au cours de la nuit vous assassiner d'un coup de vent qui la suit et hantera la maison où tu te trouves pour toujours... À toi de décider si il y aura une suite à cette histoire...

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